Stage “du CHOEUR au CLOWN”

du 16 al 28 octobre 2023

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Organisme de formation certifié QUALIOPI. Zéfiro Théâtre propose depuis 1998 des stages à destination d‘artistes interprètes confirmés.

Retours des stagiaires février 2023

Cécile Génovese, 33 ans, comédienne. Région Parisienne

« J’avais envie depuis longtemps de faire un stage de clown qui manquait à ma formation initiale. Mais je ne me sentais pas forcément prête parce que c’est quelque chose qui fait un peu peur ».

« C’est la peur du vide, c’est comme un saut dans le vide, un lâcher-prise. Je viens d’un théâtre assez classique et se confronter à cette forme-là, sans avoir du texte, pour moi c’est assez impressionnant. Les clowns sont des personnages très spontanés et c’est ce rapport avec le public que je trouve très intéressant »

« J’étais rassurée de voir que les stagiaires et les formateurs sont tous hyper attentifs, bienveillants, prévenants, gentils… ça rassure on se sent plus libre d’exprimer ce qu’on ressent »

Camille Blanc, comédienne et dramaturge. 29 ans. Paris

« J’avais fait une journée de clown par hasard dans une autre formation et j’avais beaucoup aimé l’état de recherche dans lequel ça m’avait mise et ensuite j’ai vu beaucoup de spectacles de clown. J’aime la générosité du jeu et la prise de risque que ça nécessite ».

« Dans ce stage j’ai découvert le travail du masque neutre qui est très technique, on a travaillé la communication avec le regard que je trouve très importante. Le nerf de la guerre dans ce jeu, c’est de s’autoriser à mal faire les choses. Là, on est dans un univers qui consiste à « faire mal » pour ensuite en sortir autre chose ».

« C’est la première fois aussi que je travaille dans un stage avec un binôme : un metteur en scène et un musicien. Ça rehausse tout, c’est ça qui donne la grâce à cette formation. On est vraiment dans une pièce de théâtre, dans une sorte de chorégraphie narrative et ça donne toute sa force… avoir quelqu’un qui prend tes propositions et qui les habille en musique c’est très chouette »

Véronique Grenier. Comédienne, Psychologue – Artiste plasticienne, 38 ans. Bordeaux. Ancienne élève de l’école Jacques Le Coq.

« J’ai découvert dans la « créature clownesque » un autre personnage possible par rapport au théâtre classique, même si tu oublies ton texte il y a de quoi improviser parce que nous avons des appuis clownesques. J’aime cette idée que chaque accident est un cadeau. Et si on commence à regarder la vie sous cet angle, il y a plein de portes qui s’ouvrent ».

« J’avais déjà fait d’autres expériences de clown mais ce n’est pas la même méthode. Sur la question du regard c’est différent. Mes anciens pédagogues, insistaient plus sur le fait de jouer dans sa bulle et inviter le public après. Alors qu’ici on joue et on construit son personnage avec ce miroir qui nous tend le public ».

« C’est un stage qui m’a été conseillé par un comédien qui avait beaucoup plus de bouteille que moi.  Il m’a conseillé d’essayer cette approche clownesque qui est plus rigoureuse que celles que j’ai connu jusqu’à maintenant. Et de cette rigueur nait aussi une éthique qui permet de protéger ce travail. Dans tous les cas c’est très complémentaire de ce que j’ai fait jusque-là. »

Daniel Benisty, dit Wilsone. Musicien, comédien, auteur compositeur interprète. Stand-up. 39 ans. Région Parisienne

« Je suis venu pour créer un personnage, le faire émerger de moi. Et quand il est apparu, grâce à un travail rigoureux et à la technique du masque neutre c’était tellement jouissif, c’était une surprise, une révélation. Et grâce à Rafael et à Jean-Luc je crois que j’ai touché ça du bout du doigt ».

« … avoir découvert cette discipline merveilleuse me donne envie de continuer à l’explorer et même d’utiliser certains outils, acquis lors de cette formation dans mon métier de comédien et artiste interprète ».

Laurent Seyral, 65 ans, professeur de français à la retraite. Paris. Comédien amateur

« Je pense qu’il y a une grammaire du clown et on est en train de l’apprendre. Comme toute grammaire c’est parfois chiant, c’est rigoureux, mais la grammaire ça permet d’écrire tous les poèmes du monde »

« Je suis venu pour voir si je pouvais sortir un clown et j’ai l’impression qu’il y a quelque chose qui sort, il faut encore le travailler mais je tiens un personnage qui est touchant, attachant »

« Ce stage est une école de la rigueur dont j’ai besoin, je suis quelqu’un de très distrait. Le travail du clown m’oblige à être attentif, dans le présent … »

Identification du stage

Profil professionnel des stagiaires

  • Professionnels intermittents du spectacle : comédiens, danseurs, chanteurs ou musiciens.

Prérequis et expérience professionnelle

  • Avoir une expérience professionnelle du plateau d’au moins deux ans.
  • Motivation à découvrir ou approfondir le clown ou le jeu masqué.

Modalités et délais d’accès

  • Remplir le formulaire d’inscription
  • Joindre une lettre de motivation et un CV
  • Entretien téléphonique
  • Engager les démarches pour la prise en charge du coût de la formation AFDAS ou pôle emploi.
  • Si le règlement est privé verser l’acompte 30% du prix du stage.

Tarifs et effectifs

  • 3250 € H.T. pour une prise en charge OPCO
  • 2500 € H.T. financement privé
  • Effectif maximum: 10 stagiaires, effectif minimum : 6 stagiaires

Objectifs pédagogiques

  • Se préparer à jouer avec le masque du Clown : conscience corporelle, vocale et disposition intérieure de lâcher-prise et de vigilance.
  • S’approprier et mettre en œuvre les règles du jeu clownesque, la grammaire narrative du regard et du geste, la conscience du rythme, la relation avec ses partenaires, l’espace, le public et la gestion de l’imprévu
  • Créer et développer son personnage de Clown.
  • Affiner son identité artistique : être “personnel”, mettre en jeu son imaginaire et alimenter le dialogue collaboratif acteur/personnage. Expérimenter l’écriture d’un numéro de Clown : sens du récit, tension dramatique.
  • Capacité à jouer en public.

Méthodes mobilisées

voir le programme

Modalités d’évaluation

Grille d’évaluation à chaud – Grille d’évaluation à froid

Dates et durée

du 16 au 28 octobre 2023

12 jours : 91 heures
planning
de lundi 16 au samedi 28 octobre
relâche dimanche 22 octobre
horaires : 9h30 à 17h30
sauf samedi 28 octobre 10h-22h

Enseignants

Théâtre: Rafael Bianciotto et Anne-Dominique Défontaines
Musique: Jean-Luc Priano

Lieu

Théâtre André Malraux
Place des Arts 92500 Rueil-Malmaison

De nombreuses opportunités de logement proches du lieu de formation seront proposées

Accessibilité

Locaux adaptés aux handicaps moteurs

 

Compte-tenu de la diversité possible des handicaps, contactez-nous pour voir ensemble.

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Propos

Le jeu clownesque apporte une formation essentielle au comédien. Il est au cœur d’un théâtre qui interroge le monde dans ce qu’il possède de plus secret, de plus mystérieux et de plus poétique. Il donne à l’acteur le sens de l’écriture de l’émotion par le corps, transformant en signe chaque geste, chaque mot. Il exige de l’acteur un engagement émotionnel et physique total, toujours ancré dans la plus grande sincérité qui soit, et le condamne à la recherche permanente de l’essentiel, tant dans la justesse de l’état dramatique qu’il désire exprimer que dans la justesse du geste qui traduit et porte cet état. Il lui impose une précision rythmique, une écoute et un sens musical de tout instant, un souci permanent du récit et une capacité d’invention sans cesse renouvelée. Ce personnage de clown a bien évolué depuis sa fonction d’intermède comique dans les cirques jusqu’à pouvoir devenir central dans un spectacle. Il est porteur d’un jeu d’une dimension unique : il vient de nulle part, sans famille et sans âge.

Il est l’expérience du “lâcher-prise” par excellence, il n’a peur de rien et surtout pas de ses faiblesses : il en fait une force. Qui naîtra par ce Clown, capable d’utiliser notre chaos et notre démesure pour sauver le monde ?

RETOURS DES STAGIAIRES

Enquête de satisfaction questionnaire à chaud TOTAL de 3,98 /4
au 09/02/2023

Formation a été créée en 2014 qui rencontre toujours un vif succès.

Quelques extraits des retours des stagiaires collectés par une enquête à froid de l’AFDAS :

“…Un moment unique, une rencontre professionnelle de grande qualité.”

“j’ai été enrichi d’une pratique qui va me permettre de clarifier/épurer mon jeu.”

“Les formateurs ont répondu à ce que j’attendais tout au long du stage. Tous excellaient dans leurs disciplines et savaient la transmettre avec humilité”

“C’était la deuxième fois que je suivais ce stage et il m’a amené plus loin dans ses techniques et objectifs”

Cécile Génovese, 33 ans, comédienne. Région Parisienne

« J’avais envie depuis longtemps de faire un stage de clown qui manquait à ma formation initiale. Mais je ne me sentais pas forcément prête parce que c’est quelque chose qui fait un peu peur ».

« C’est la peur du vide, c’est comme un saut dans le vide, un lâcher-prise. Je viens d’un théâtre assez classique et se confronter à cette forme-là, sans avoir du texte, pour moi c’est assez impressionnant. Les clowns sont des personnages très spontanés et c’est ce rapport avec le public que je trouve très intéressant »

« J’étais rassurée de voir que les stagiaires et les formateurs sont tous hyper attentifs, bienveillants, prévenants, gentils… ça rassure on se sent plus libre d’exprimer ce qu’on ressent »

Camille Blanc, comédienne et dramaturge. 29 ans. Paris

« J’avais fait une journée de clown par hasard dans une autre formation et j’avais beaucoup aimé l’état de recherche dans lequel ça m’avait mise et ensuite j’ai vu beaucoup de spectacles de clown. J’aime la générosité du jeu et la prise de risque que ça nécessite ».

« Dans ce stage j’ai découvert le travail du masque neutre qui est très technique, on a travaillé la communication avec le regard que je trouve très importante. Le nerf de la guerre dans ce jeu, c’est de s’autoriser à mal faire les choses. Là, on est dans un univers qui consiste à « faire mal » pour ensuite en sortir autre chose ».

« C’est la première fois aussi que je travaille dans un stage avec un binôme : un metteur en scène et un musicien. Ça rehausse tout, c’est ça qui donne la grâce à cette formation. On est vraiment dans une pièce de théâtre, dans une sorte de chorégraphie narrative et ça donne toute sa force… avoir quelqu’un qui prend tes propositions et qui les habille en musique c’est très chouette »

Véronique Grenier. Comédienne, Psychologue – Artiste plasticienne, 38 ans. Bordeaux. Ancienne élève de l’école Jacques Le Coq.

« J’ai découvert dans la « créature clownesque » un autre personnage possible par rapport au théâtre classique, même si tu oublies ton texte il y a de quoi improviser parce que nous avons des appuis clownesques. J’aime cette idée que chaque accident est un cadeau. Et si on commence à regarder la vie sous cet angle, il y a plein de portes qui s’ouvrent ».

« J’avais déjà fait d’autres expériences de clown mais ce n’est pas la même méthode. Sur la question du regard c’est différent. Mes anciens pédagogues, insistaient plus sur le fait de jouer dans sa bulle et inviter le public après. Alors qu’ici on joue et on construit son personnage avec ce miroir qui nous tend le public ».

« C’est un stage qui m’a été conseillé par un comédien qui avait beaucoup plus de bouteille que moi.  Il m’a conseillé d’essayer cette approche clownesque qui est plus rigoureuse que celles que j’ai connu jusqu’à maintenant. Et de cette rigueur nait aussi une éthique qui permet de protéger ce travail. Dans tous les cas c’est très complémentaire de ce que j’ai fait jusque-là. »

Daniel Benisty, dit Wilsone. Musicien, comédien, auteur compositeur interprète. Stand-up. 39 ans. Région Parisienne

« Je suis venu pour créer un personnage, le faire émerger de moi. Et quand il est apparu, grâce à un travail rigoureux et à la technique du masque neutre c’était tellement jouissif, c’était une surprise, une révélation. Et grâce à Rafael et à Jean-Luc je crois que j’ai touché ça du bout du doigt ».

« … avoir découvert cette discipline merveilleuse me donne envie de continuer à l’explorer et même d’utiliser certains outils, acquis lors de cette formation dans mon métier de comédien et artiste interprète ».

Laurent Seyral, 65 ans, professeur de français à la retraite. Paris. Comédien amateur

« Je pense qu’il y a une grammaire du clown et on est en train de l’apprendre. Comme toute grammaire c’est parfois chiant, c’est rigoureux, mais la grammaire ça permet d’écrire tous les poèmes du monde »

« Je suis venu pour voir si je pouvais sortir un clown et j’ai l’impression qu’il y a quelque chose qui sort, il faut encore le travailler mais je tiens un personnage qui est touchant, attachant »

« Ce stage est une école de la rigueur dont j’ai besoin, je suis quelqu’un de très distrait. Le travail du clown m’oblige à être attentif, dans le présent … »

télécharger l’enquête à froid complète de l’AFDAS

page mise à jour le 12/07/2023